Pour la galette:
2 rouleaux de pâte feuilletée
1 oeuf
La pâte d'amande ( crème patissière et la crème d'amande)
Pour la crème patissière:
50 cl de lait
150 gr de sucre
4 jaunes d'oeufs
1 oeuf entier
40 gr de farine
1 gousse de vanille
Pour la crème d'amande:
110 g de beurre
125 g d'amande en poudre
90 g de sucre glace
1 oeuf
12 g de farine
1 cuil à soupe de rhum
Préparation:
Préparation de la crème paissière:
Dans une casserole, portez à ébullition le lait et ajoutez la gousse de vanille fendue et bien grattée.
Couvrez et laissez infuser.
Dans un saladier, battez au fouet les jaunes d'oeufs, l'oeuf entier et le sucre jusqu'a ce que le mélange blanchisse.
Ajoutez la farine puis le lait bouillant.
Versez dans une casserole à fond épais et laissez cuire jusqu'a ébullition tout en remuant.
Couvrez et laissez refroidir
Préparation de la crème d'amande:
Dans un bol, pétrissez le beurre pour obtenir une pommade puis ajoutez les amandes en poudre, la farine, le sucre glace, le rhum et l'oeuf et continuez à pétrir pour obtenir une pâte homogène
Préparation de la galette
Préchauffez le four à 240° ( th 8)
Mélangez la crème patissière et la crème d'amande.
Dans un bol, battez un oeuf.
Beurrez la plaque à patisserie du four et posez la pâte feuilletée puis à l'aide d'un pinceau badigeonnez d'oeuf le bord de la pâte sur 1 cm.
Etalez la préparation au centre de la pâte sans déborder sur le tour enduit d'oeuf.
Recouvrez de la seconde pâte puis appuyez sur les bords pour bien les souder ensemble et avec le pinceau badigeonnez le reste de l'oeuf sur toute la surface de la pâte.
Avec la pointe d'un couteau, rayez la surface de la pâte en faisant un motif au choix.
Mettez au four pour 10 min à 240° puis 25 min à 180° ( th 6).
Sortez la galette, laissez refroidir et servez
Bon appétit, n'oubliez pas la tasse de café !!!
mercredi 19 janvier 2011
mercredi 5 janvier 2011
Le levain
Le levain est la manière ancestrale de faire lever le pain. C'est une pâte exclusivement composée de farine et d'eau, laissée fermentée à l'air, que le boulanger va entretenir et développer régulièrement en "rafraichissant" avec une même proportion de farine et d'eau, au fur et à mesure de son utlisation. On peux personnaliser son levain en incorporant, par exemple, un peu de jus de fruits ou de bière.
Le goût du pain au levain est spécifique. Légèrement acidulé et plus dense, il a un goût plus typé que le pain fabriqué par le boulanger. La confection des levains est obtenue avec un morceau de pâte prélevé sur une des fournées du jour, dont le volume, pendant l'intervalle qui sépare deux fabrications, est progressivement augmenté pour aboutir un levain destiné à ensemencer la pâte de la première fournée du lendemain. Ce pied de culture est de 4,890 à 9,780 kg pour une fournée de pain.
Lors de son emploi, la pâte sera bien levée, ni trop jeune (pousse insuffisante) ni trop vieille, car elle serait aigre. Le chef voit alors son poids doublé ou triplé avec un apport d'eau et de farine; on rafraichi ou on renouvelle le levain; il en résulte le levain de première.
Six ou sept heures plus tard, nouvel enrichissement. Après pétrissage on obtient le levain de seconde qui fermente quatre à cinq heures. Cette période écoulée nouvelle addition qui conduit au levain de tout point qui fermente une à deux heures jusqu'au moment du pétrissage de la pâte.
On comprend donc vu le travail que cela demande que ce pain ne soit fait que sur commande et est plus cher qu'un pain classique. Il faut bien sur être passer par la phase de fabrication pour savoir le temps que cela demande. Mais si le coeur vous en dis pourquoi ne pas vous risquer à la fabrication chez vous de ce pain.
Une expérience a tenter et qui enrichira chaque téméraire
Le goût du pain au levain est spécifique. Légèrement acidulé et plus dense, il a un goût plus typé que le pain fabriqué par le boulanger. La confection des levains est obtenue avec un morceau de pâte prélevé sur une des fournées du jour, dont le volume, pendant l'intervalle qui sépare deux fabrications, est progressivement augmenté pour aboutir un levain destiné à ensemencer la pâte de la première fournée du lendemain. Ce pied de culture est de 4,890 à 9,780 kg pour une fournée de pain.
Lors de son emploi, la pâte sera bien levée, ni trop jeune (pousse insuffisante) ni trop vieille, car elle serait aigre. Le chef voit alors son poids doublé ou triplé avec un apport d'eau et de farine; on rafraichi ou on renouvelle le levain; il en résulte le levain de première.
Six ou sept heures plus tard, nouvel enrichissement. Après pétrissage on obtient le levain de seconde qui fermente quatre à cinq heures. Cette période écoulée nouvelle addition qui conduit au levain de tout point qui fermente une à deux heures jusqu'au moment du pétrissage de la pâte.
On comprend donc vu le travail que cela demande que ce pain ne soit fait que sur commande et est plus cher qu'un pain classique. Il faut bien sur être passer par la phase de fabrication pour savoir le temps que cela demande. Mais si le coeur vous en dis pourquoi ne pas vous risquer à la fabrication chez vous de ce pain.
Une expérience a tenter et qui enrichira chaque téméraire
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